Après avoir déterminé un genre cinématographique puis réfléchi sur les codes du genre en question, chacun a réalisé l’affiche d’un film imaginaire.
Quel est celui que vous voudriez voir ? N’hésitez pas à l’écrire dans les commentaires !
Si vous êtes l’auteur de cette image, lisez les commentaires : ils sont écrit, pour certains, par un professionnel de l’image et producteur de disque que vous connaissez déjà puisqu’il avait déjà joué le jeu du concours de pochettes de disques, justement (plus bas sur cette page) !
Shadow of man on the white frosted glass representing dangerous, fear, help, haunting, horror and scary.
Des élèves ont été jusqu’à imaginer le teaser de leur film imaginaire….
Une autre série réalisée par les 2nde. Cette fois ci ils avaient sous la main un ordinateur. Ce sont donc des pochettes de CD (déjà numériques) qu’ils ont pu réaliser.
En collaboration avec Stéphane Berland, directeur artistique et producteur, directeur du label Ayler Records, dont une partie du travail consiste à créer de magnifiques pochettes de disques (voir https://www.facebook.com/aylerrecords/). Il choisira par quelques commentaires celles qui le touchent particulièrement.
Pochettes de disques réalisées par les 1ere : la consigne leur demandait de réaliser une image répondant à cette contrainte « à la main » sur un support carré de 31.5 cm de côté.
En collaboration avec Stéphane Berland, directeur artistique et producteur, directeur du label Ayler Records, dont une partie du travail consiste à créer de magnifiques pochettes de disques (voir https://www.facebook.com/aylerrecords/). Il choisira par quelques commentaires celles qui le touchent particulièrement.
Leticia Martinez-Perez est venue rencontrer les élèves du lycée Jean Monnet à l’occasion d’un accrochage de son travail.
Accrocher le travail de Leticia est une rencontre en soi : il faudra que chacun s’imprègne de l’oeuvre protéiforme de l’artiste hyperractive pour bien comprendre que « les pièces exposées sont d’abord des objets à manipuler ». On accroche de la « performance », en quelque sorte.
On ne peut comprendre ce travail sans avoir vu quelques unes de ses performances collectives, justement : explications de l’artiste :
Après avoir visionné ses différentes interventions aux quatre coins du monde (Madrid, Paris, Caen…) les élèves sont invités à y répondre par un geste, une attitude, qui doit laisser une trace dans l’espace de la galerie d’art.
Les expositions de Leticia Martinez Perez sont donc autant d’actions, de rencontres, de réponses, qui donnent l’impression qu’ici se sont déroulés des événements poétiques, festifs, joyeux, débridés, c’est à dire complètement libérés de toute contrainte, et que ce qu’il en reste, ce qu’on en voit, nous plonge dans un univers digne d’un conte se déroulant de l’autre côté du miroir.
Après une année contrainte, respirons de concert avec l’artiste Leticia Martinez-Perez !
Tous les élèves du lycée ont réfléchis à une réponse plastique à cette incitation : Contre Sens.
Première tentative de réunir tous les travaux des élèves du lycée, y compris en « Arts Appliqués », dans la galerie, sous la direction (ou le « commissariat d’exposition ») des 2ndes.
Il manque encore les travaux des collégiens qui ont participé grâce à la liaison Collège-Lycée : à la rentrée nous y intégrerons donc des travaux de 6ème…. jusqu’à la 3ème !
Pour vous donner une idée de cette exposition, voici une galerie d’images reflétant bien la confrontation des travaux, de l’installation à l’image.
Une référence au cinéma
L’installation qui convie le spect-acteur à intervenir dans l’oeuvre
Tous les médias sont conviés dans cette installation
Des références artistiques convoquées
On aborde l’art conceptuel par la demande d’intégrer un mode d’emploi au travail plastique
Vue de l’exposition
Vue de l’exposition
Vue de l’exposition
Les interprétations des élèves du travail proposé par Tony Durand lors de son Workshop « mot compte double »
On aborde l’Art Conceptuel à travers la demande d’intégrer un « mode d’emploi » à son travail plastique
Vue de l’exposition
Vue de l’exposition
Vues de l’exposition
Les affiches réalisées par Caentin, élève en Terminale spécialité Arts Plastiques OLYMPUS DIGITAL CAMERA
Lundi 8, mardi 9 et mercredi 10 février, à raison de 3h + 3h + 2h : Tony Durand rencontre les élèves et organise un WORKSHOP intitulé CONTRE SENS : une Fabrique de Signes.
Les élèves sont amenés à réaliser des estampes à l’aide d’objets récupérés, de papiers découpés qui, encrés à l’encre d’imprimerie puis passés sous presse, permettaient de « commenter graphiquement » une image de presse, ou tout simplement de réaliser des compositions originales abstraites ou figuratives.
Les estampes en cours de fabrication.OLYMPUS DIGITAL CAMERALes estampes en cours de fabrication.Exemple d’une image de magazine « commentée » N’importe quel objet, du moment qu’il soit plat, peut produire une image.
Une première exposition en réponse à celle de TONY DURAND est proposée par les CAP 2 dans la galerie du Lycée. C’est une installation minimaliste où le spectateur-élève est invité à s’assoir à son bureau au milieu de la pièce.
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L’exposition sous forme d’installation proposée par les CAP-Vente 2ème année du Lycée Jean Monnet.
Dans le prochain article de blog, l’expo des travaux d’élèves du lycée…. et du collège Emile Chartier ! Elle sera intitulée, en hommage à TONY DURAND, CONTRE SENS.
La porte de la galerie modifiée pour l’occasion par l’Artiste lui-même avec en haut à droite une proposition d’affiche par Caentin (Terminale Spécialité Arts Plastiques)